dimanche 13 mars 2016

Sorcha de Mallaig

Diane Lacombe
Éditions VLB
490 pages

« Écosse, 1437. Fille d'un laird du clan MacNeil de Mallaig, Torcha Lennox grandit dans un couvent de l'île d'Iona, où sa mère s'est réfugiée après la disgrâce de son mari. Torcha en vient à correspondre avec le jeune Baltair MacNeil, puis avec la mère de ce dernier, la châtelaine de Mallaig. Quand celle-ci envoie son fils la chercher au couvent pour en faire sa suivante, la jeune fille s'est enfuie. Blatair se lance à sa poursuite à travers l'Écosse. Quelle sera la place de Torcha au château de Mallaig où circulent des révélations infâmes sur ses origines?»

Mon avis


7/10

Sorcha de Mallaig est l'un des volumes de la trilogie La châtelaine de Mallaig. Il est possible de lire les romans séparément, mais je l'ai lu après La châtelaine de Mallaig. Sorcha de Mallaig se déroule environ une quinzaine d'années plus tard. Je trouve qu'il est idéal de le lire après La châtelaine de Mallaig, car nous retrouvons plusieurs personnages et c'est plus facile à suivre.

Si j'avais adoré le tome 1 pour sa sensibilité et la beauté de l'écriture, j'ai un avis un peu plus mitigé sur ce tome. J'ai retrouvé beaucoup d'éléments qui me plaisent: le style de l'auteure est encore très beau et j'ai beaucoup aimé le développement de l'histoire d'amour. Bon, tout est prévisible au point où on peut raconter la fin après avoir lu un seul chapitre, mais c'est une romance que j'ai trouvé simple, apaisante.

Si la romance est apaisante, le reste de l'histoire ne l'est pas vraiment. Il y a plusieurs péripéties, mais j'ai tout de même trouver le temps long au début du roman. La partie où Sorcha vit au couvent aurait pu être écourtée de moitié. La seconde partie qui se déroule à Mallaig était beaucoup plus intéressante.

Les personnages m'ont plu, mais je trouvais que Sorcha ressemblait beaucoup trop à Gunelle, le personnage principale du tome précédent. Un peu plus de variété dans les caractères aurait mieux retenu mon intérêt.

Au final, c'est un bon roman historique dont j'apprécie beaucoup le style, malgré quelques longueurs.


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