dimanche 29 novembre 2015

Bilan novembre 2015




J'ai passé un superbe mois de novembre côté lecture. J'ai lu pas mal considérant mon stage et j'ai fait des acquisitions dont je suis très contente. J'ai fait ma visite annuelle au Salon du livre de Montréal et j'en suis ressortie avec plusieurs romans qui me tentaient depuis longtemps.

Mes lectures du mois

1. Les Douze de Justin Cronin
2. Lux, tome 2: Onyx de Jennifer L. Armentrout
3. Autre-Mondre, tome 3 de Maxime Chattam
4. Le Museum de Marie-Anne Legault
5. Léviathan, tome 2: Behemoth de Scott Westerfield
6. Terre des oublis de Thu Huong Duong
7. Le cirque des rêves de Erin Morgenstern




 



Acquisitions du mois

1. Cavalier vert, tome 1 de Kristen Britain
2. L'empereur aux mille conquêtes de Javier Moro
3. La ville orpheline de Victoria Hislop
4. Gloire et déchéance des grandes puissances de Tom Rachman
5. Même pas mort de Jean-Philippe Jaworski
6. Le Voyage de Robert Blake
7. Madame Victoria de Catherine Leroux
8. Les Weird de Andrew Kaufman
9. Sang de pirate, tome 2: Tempêtes de Élisabeth Tremblay
10. Les gardiens des portes de Sonia Alain
11. La trilogie des Trylles, tome 3 de Amanda Hocking
12. Partial de Dan Wells
13. Fragment de Dan Wells





 



Livre pioché pour novembre

En vue de faire baisser ma PAL et de ressortir certains livres qui y traînent depuis trop longtemps, je pige un livre que je devrai lire au cours du mois suivant. Ce mois-ci, je devrai lire: Terre mourante de Jack Vance


vendredi 27 novembre 2015

Le cirque des rêves

Erin Morgenstern
Éditions Pocket
559 pages
Publication originale de 2010

« Il est arrivé comme par enchantement, dressant sous le ciel étoilé ses chapiteaux noir et blanc: Le Cirque des rêves. Approchez, Mesdames et Messieurs, petits et grands, entrez! Ici se déroule plus que tours et acrobaties. Sous vos yeux ébahis, la véritable magie est à l'oeuvre: deux jeunes illusionnistes , Celia et Marco, s'affrontent dans un combat magique pour lequel ils sont entraînés depuis l'enfance. Voués à se mesurer dans le plus prodigieux des défis, ils sont adversaires. Mais entre eux, une magie plus grande opère, celle de l'amour. Une passion ensorcelante qui pourrait leur être fatale...»



Mon avis


9/10


Vous plongez dans ce roman, c'est vous plongez dans un tout autre univers, comme un flou dans le temps et dans l'espace, où la réalité est déformée. L'ambiance du cirque est si prenante. Allez-y, entrez!

J'ai adoré ce roman. L'histoire se déroule sur une trentaine d'année vers la fin du 19e siècle. On y retrouve au début un magicien et sa fille, qu'il lance dans un défi plus grand que nature. Les règles restent mystérieuses même pour ceux qui y participent. Le but: éblouir. La petite Celia grandit donc en développant ses dons de magie, tout comme son adversaire, un orphelin recueilli par un magicien.

Dès le début de l'histoire, on nage en plein mystère. Il m'a fallu un moment avant de comprendre ce qu'était le «défi» de Celia et Marco. L'ambiance de magie est omniprésente alors qu'on apprend à connaître Celia. C'est un personnage que j'ai beaucoup aimé: forte et fragile à la fois. Marco est resté plus effacé pendant la première partie du roman. Je ne comprenais pas trop ce personnage et je me disais qu'il ne faisait pas le poids face à la magnifique Celia. Marco est plus subtile et on apprend à le connaître mieux par la suite.

Si les personnages étaient intéressants, c'est tout de même le cirque qui vole la vedette. Il apparaît sans bruit dans des villes tout autour du globe et accueille toute la nuit des visiteurs éblouis. J'ai adoré comment le cirque est dépeint: ses nombreux chapiteaux plus extraordinaires les uns que les autres, ses teintes uniques de noir et de blanc dans les costumes comme les décors, ses sucreries et son ambiance velouté. J'ai aussi beaucoup aimé la construction du récit: on revient en arrière, puis on avance, on passe d'un personnage à l'autre et certains courts chapitres sont écrits à la deuxième personne et nous font entrer dans le cirque presque personnellement. 

J'ai aussi eu un petit coup de coeur pour le personnage de l'horloger, qu'on ne voit que très peu. Il construit une horloge très particulière pour le cirque, et il voue ensuite un amour inconditionnel au cirque. 

Bref, un roman à l'ambiance incroyable dont la lecture vaut la peine!

jeudi 26 novembre 2015

Léviathan, tome 2: Béhémoth

Scott Westerfeld
Éditions Pocket Jeunesse
473 pages
Publication originale de 2010

«1914. À l'aube de la Première Guerre mondiale. Deryn est écossaise et orpheline; Alek est un jeune héritier qui fuit l'empire austro-hongrois. Elle s'habille en garçon et combat dans les forces aériennes darwinistes; lui est poursuivi par le pouvoir claquer et cache ses origines. Alliés malgré eux, ils se retrouvent à bord de l'extraordinaire Léviathan. Ils n'auront qu'une solution pour éviter la guerre: se faire confiance... et compter sur la créature la plus redoutable des darwinistes britanniques: le Béhémoth...»





Mon avis


8.5/10

Scott Westerfeld nous transporte avec la série Léviathan dans une Europe du début du XXe siècle qui n'a jamais existé. Alors qu'une guerre mondiale menace d'éclater, nous suivons deux jeunes au coeur de l'action qui tente d'empêcher la confrontation. Alek est l'héritier en fuite d'un Empire et Deryn est une jeune fille qui sert sur un navire de guerre en se faisant passer pour un garçon.

Ce second tome m'a agréablement surprise pour plusieurs raisons. Alors que le premier tome m'avait plu, mais sans plus, celui-ci m'a transportée beaucoup plus loin.

Les personnages étaient d'abord pour moi beaucoup plus agréables. Ils faisaient un peu moins «jeunesse» que dans le premier tome. Une chose m'a cependant encore agacée tout au long du roman: Mais quand Deryn va-t-elle enfin dévoiler sa véritable identité? Je lirais le troisième tome uniquement pour le savoir.

Pour ce qui est de l'histoire j'y ai vu des hauts et des bas. J'ai beaucoup aimé tout ce qui tournait autour des oeufs mystérieux qui étaient à bord du Léviathan depuis le tome 1. On sait enfin de quoi il en retourne et j'ai trouvé cela plutôt sympathique! J'ai aussi beaucoup aimé qu'une partie de l'histoire se déroule à Istanbul. Ayant déjà visité la ville, j'ai eu de la facilité à m'imaginer l'atmosphère et à me laisser prendre par la description des lieux. J'ai un peu moins aimé, cependant, le côté irréaliste de l'histoire. Alek, malgré un empire entier à ses trousses, arrive encore à se faufiler et à déambuler dans les rues comme si de rien n'était. Franchement, il y a longtemps qu'il aurait dû se faire prendre... Je n'ai as adoré non plus la fin, on dirait qu'il y avait une bataille juste parce qu'il y a des batailles habituellement à ce point du récit dans des romans semblables.

Néanmoins, j'ai beaucoup aimé ma lecture pour l'ambiance et les personnages et je compte poursuivre avec le tome 3 pour connaître la fin des aventures de Deryn et d'Alek.


jeudi 12 novembre 2015

Le Museum

Marie-Anne Legault
Éditions Québec-Amérique
222 pages
2013

«À la suite d'un cataclysme, une spécialiste de l'histoire ancienne se voit forcée d'étudier l'effacement de sa propre civilisation. S'amorce alors une grand enquête, une course contre le sablier. Armée d'un simple fourre-tout et d'un appareil photographique, cette Docteure ès disparitions rassemble les clés pour conjurer un péril pire que tout. Une seule certitude: tout converge vers un étrange sanctuaire: le Museum. Au cours de son périple truffé de lieux vagues, de personnages bigarrés, de temps confus, elle tente de faire la lumière sur sa destination finale.»



Mon avis


6.5/10

La lecture de ce roman fût pour moi étrange et perturbante. Le résumé très mystérieux avait piqué ma curiosité, mais je ne savais pas du tout à quoi m'attendre.

 En débutant ma lecture, j'ai été transportée ailleurs, très loin de la réalité et de toute logique. On rencontre une jeune femme dont on ne sait pas grand chose, excepté qu'elle a des diplômes poussés en histoire et qu'elle est spécialiste des civilisations disparues. J'aime beaucoup l'histoire, alors ce personnage ne plaisait bien! J'ai cependant été complètement déroutée par le style d'écriture. Ce n'est pas trop poétique ou trop complexe, mais c'est particulier. Il y a beaucoup de répétitions stylistiques, des phrases qui reviennent comme le refrain d'une chanson. La narratrice inclue aussi beaucoup de «oui» dans ses phrases. «C'était un matin brumeux, oui, comme tout les matins.» La moitié des phrases sont aussi construites sans l'un des groupes de base de la phrase. Le verbe conjugué débute souvent les phrases (le sujet s'est évaporé dans la brume...). Plusieurs autres phrases ne sont qu'un groupe du nom sans verbe. Au début, je pensais m'habituer, mais j'ai trouvé cela très fatiguant tout au long de ma lecture. La narratrice ne dis jamais «je». Pour moi, cela ne fonctionnait pas du tout avec le personnage, qui est une intellectuelle.

Le déroulement de l'histoire est aussi étrange que la narration. On sait qu'une brume intense et tenace s'est installée partout et qu'on ne voit maintenant plus devant soi, peu importe où l'on va. La narratrice erre dans la ville lorsqu'elle rencontre différents personnages loufoques: un mendiant, un homme-sandwich qui porte une publicité désuète depuis des décennies. Je me croyais dans Le Petit Prince.

Si un seul mot peut bien décrire le roman, c'est assurément «surréaliste». L'intrigue, les personnages, l'époque, rien ne fait de sens. Au final, c'était beaucoup trop pour moi... La fin nous amène vers une piste de réponse, une interprétation possible de tout le charabia qu'est cette histoire. Je ne suis cependant pas certaine d'avoir tout compris ce que l'auteure essayait de transmettre...

En bref, cette lecture m'a perdue dès le début et je n'ai pas trouvé au fil du récit une façon de me raccrochée.

Littérature de l'imaginaire - 4e édition



Bonjour à tous! Je tente cette année un autre challenge en lien avec la littérature de l'imaginaire. Le principe est simple, lire des livres dont le genre est imaginaire. On entre dans cette catégorie les livres de fantastique, fantasy, science-fiction, dystopie, steampunk, bit-lit, etc.

J'ai choisi une catégorie qui sera un défi à atteindre: 48 livres. J'ai observé mes lectures de 2015 et si je lis autant, cela devrait être faisable!

Pour les intéressés, cela se passe ici et le challenge se déroule sur l'année 2016.


mercredi 11 novembre 2015

Autre-Monde, tome 3: Le Coeur de la Terre


Maxime Chattam
Édition Le Livre de Poche
492 pages
Publication originale de 2010

«L'invasion d'Eden est imminente. Pour défendre la cité et déjouer les plans maléfiques de la reine Malronce, il n'y a plus d'autre choix: il faut combattre. Les Pans doivent alors développer leurs pouvoirs, affronter Cyniks et Gloutons dans une guerre sans merci, braver le Raupéroden, dont la vraie nature, comme celle de la reine Malronce, leur restera longtemps inconnue. C'est l'épreuve ultime pour Matt, Ambre et Tobias, qui doivent apprendre la vie en commun, la politique, et aussi le lien vital et salvateur qu'il faut préserver avec la nature. Pour survivre, pour que le mode change, et que renaisse l'espoir. Entrez dans l'Autre-Monde, rejoignez l'Alliance des Trois. elle vous mènera jusqu'au bout de sa longue quête...»


Mon avis


8.5/10

Après la lecture des 2 premiers tomes de cette série, je la trouvais bien, mais sans plus. Le troisième tome est pour moi un point tournant: cette saga me plait beaucoup plus qu'avant.

Le monde a été complètement bouleversé par une tempête. La nature a repris ses droits et des créatures plus bizarroïdes les unes que les autres peuplent maintenant la Terre. Les enfants, rebaptisés les Pans, sont maintenant laissés à eux-mêmes face à des adultes que la tempête n'a pas transformés pour le mieux. On retrouve Matt, Ambre et Tobias dans leur quête pour sauver les Pans de l'extinctions devant l'attaque imminente des Cyniks, les adultes.

Je trouve que beaucoup d'aspects de l'histoire évoluent grandement avec ce tome. D'abord, l'intrigue se complexifie. Certaines révélations du derniers tomes sont mises à profit et la quête de l'Alliance des Trois mène les personnages bien plus loin que je ne l'aurais soupçonné. L'univers post-apocalyptique est aussi beaucoup plus développé. Les personnages explorent plus loin et nous permettent de découvrir encore plus de créatures et de changements dans la nature. On en apprend aussi plus sur Malronce et sur le Raupéroden, une entité qui pourchasse Matt.

La prise de maturité des personnages est aussi flagrante. C'est un peu normal, tout de même, car ils ont maintenant presque la survie de l'espèce humaine sur les épaules. Tobias m'énerve beaucoup moins qu'avant et je commence même à l'apprécier. Il est plus courageux et a plus d'initiative. Cependant, même s'il a mûrit, je trouve qu'il aurait dû conserver un peu plus de ses traits caractéristiques des premiers tomes. Je trouve que le personnage peureux et «suiveur» a été un peu dénaturé. Matt reste tout de même assez égal à lui-même. Ce n'est pas un personnage auquel j'ai réussi à m'attacher. Ambre est ma préférée. Elle est forte et brillante et elle influe positivement et réellement sur les événements. 

Bref, c'est une série que j'aime plus qu'avant, mais que j'aime plus pour son intrigue et son univers que pour ses personnages. Ce tome met officiellement fin à la première trilogie du cycle. J'ai bien hâte de découvrir où nous amène la second trilogie...


Lux, tome 2: Onyx

Jennifer L. Armentrout
Éditions J'ai lu
441 pages
Publication originale de 2012

«Depuis sa rencontre avec Dee et Deamon Black, la vie de Katy a changé du tout au tout. Car si Dee est une amie adorable dotée d'un frère terriblement sexy, ils sont cependant une source d'ennuis quasi intarissable... Entre la Défense qui cherche à tout prix à savoir de quoi Deamon est capable et la mystérieuse «trace» qui poursuit Katy, le lien qui l'unit au jeune homme sera mis à rude épreuve. Un péril plus grand que celui de la vérité? Rien n'est moins sûr...»







Mon avis


9/10

Cette saga est un gros coup de coeur pour moi. J'ai retrouvé dans le tome 2 toutes les qualités qui m'avaient faite accrocher dans le tome 1. Cette saga est drôle, complètement enivrante et surprenante. 

L'aspect que j'aime le plus de ce roman est sans aucun doute les personnages. L'auteur a vraiment fait un travail exceptionnel pour leur donner chacun une personnalité bien distincte et pour les doter d'un sens de la réparti assez impressionnant. Deamon peut être agaçant et prétentieux, mais on découvre plus en profondeur son côté protecteur et aimant. Katy tente de cacher ses sentiments derrière une carapace et j'ai bien aimé toutes les scènes explosives entre ces deux personnages. 

Bon, il est certain qu'à certains moment j'avais envie de crier à Katy de se brancher et d'arrêter de n'en faire qu'à sa tête, mais c'est un personnage que j'aime bien avec ses défauts. J'aime aussi Katy pour son côté lectrice et blogeuse, évidemment! On y faisait mention un peu plus souvent que dans le premier tome et je trouvais ça agréable, car cela faisait des liens avec la réalité et me faisait réaliser que Katy est au fond réellement une ado ordinaire.

Si l'intrigue est amenée peu à peu dans le tome 1, on est dans ce tome précipités dans l'action. Tout se déroule plus rapidement et il y a beaucoup d'évolution dans le domaine paranormal du roman, comme dans le domaine amoureux. 

Si vous ne connaissez pas encore la série Lux, je vous la conseille fortement!


samedi 7 novembre 2015

Les Douze

Justin Cronin
Éditions Pocket
960 pages
Publication de 2013
Tome 2 de Le Passage

«La fin du monde n'était qu'un début... Les Douze, résultats démoniaques d'expériences scientifiques, ont fondé les Douze tribus virgules. L'an zéro marque le début de leur règne sur un monde dévasté. Dans le chaos et la peur, chacun s'efforce de survivre... Un siècle plus tard, quelques refuges, à la sécurité précaire, se sont bâtis. Dans l'un d'eux, Amy, la Fille de nulle part, a trouvé une certaine paix. Mais, la nuit venue, les voix de ses frères et soeurs de sang glissent hors des ténèbres et lui parviennent. Dans l'ombre, le pouvoir des Douze s'étend, porteur d'une vision cauchemardesque...»



Mon avis


8.5/10

Le tome 1 de cette série, Le Passage, avait pour moi été une excellente lecture, très marquante et différente de ce que j'avais pu lire. J'ai retrouvé plusieurs aspects que j'avais aimé dans le tome 1 dans cette suite.

D'abord, cette série a une construction assez particulière. Dans le tome 1, on relatait les faits depuis avant la fin du monde, jusqu'à un siècle plus tard. Dans ce tome 2, au lieu de continuer l'histoire où elle s'était arrêtée à la fin du tome précédent, on revient sur des personnages et des événements du début de l'histoire, au moment où la fin du monde venait de débuter. On ne se répète pas, car on relate des faits nouveaux et qu'on élabore sur certains personnages du tome 1 et sur de nouveaux personnages. Ces retours en arrière et la construction pas du tout linéaire du récit m'ont plu. En effet, comme l'histoire est tout de même complexe et de pouvoir faire un retour et de voir les choses sous de nouveaux angles a améliorer ma compréhension des événements.

Au début du roman, on revit donc la fin du monde et les premières années de la période post-apocalyptique. L'auteur est très doué pour réussir à nous faire valser entre autant de personnages et autant d'histoires différentes. Malgré le nombre, on s'y retrouve plutôt bien. Le roman nous fait vivre de forts moments d'émotions, encore plus réussis que dans le premier tome selon moi.

Ce qui est particulier dans ce livre également, c'est que Amy, le personnage principal, n'apparait que vers la page 350. L'histoire n'est ainsi pas centré sur les personnages. J'ai plutôt l'impression de lire une histoire qui parle de l'humanité entière, qui concerne tout le monde. Les personnages deviennent des accessoires pour nous permettre de comprendre ce qui s'est passé.

Bref, une suite tout à fait à la hauteur de mes attentes. Pour ceux que cette série intéresseraient, je vous conseille de vous y plonger à un moment où vous avez le temps de beaucoup lire! Cette histoire est encore plus prenante quand on peut s'y plonger à fond!